Debrief (réalisé pour ma boite à l'origine, je vous le copie/colle)
Le planning,
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Les propos, questions, réponses, sujets, conférences, sont déformés par ma perception, et peuvent ne pas correspondre aux propos/ressentis réels des intervenants. (Averto si jamais ça fini sur un blog) En sus quand la même question est posée 4 fois (et que la personne a déjà mentionnée la réponse 3 fois dans son powerpoint), j’ai tendance à la rendre plus bête et générique qu’elle ne l’est. Mais ça, j’assume.
Mes propos ne représentent que moi, ni mon entreprise, ni mon organisme formateur, ni mon club de jeu de rôle.
Donc je vais zapper la partie d’un intérêt discutable ou je me lève tôt, prend le train, le métro, le bus, et arrive 1h15 avant le début des hostilités (et 20 minutes avant les orgas), c’est ça de racler les prix des trains. (Et d’être malade à l’idée de ne pas arriver 15 minutes en avance)
Donc je déboule, suis (un peu) réquisitionné pour aider par Guillaume, pour des mecs agiles, l’orga semble un peu à l’arrache. (Le théorème du bureau fermé, dont la personne est disparue…), et papote tranquillement en attendant l’ouverture des conférences. Mon planning est prêt, et il va être respecté à la lettre.
1 Product Backlog :
Pour être totalement franc, je préferais aller à « Initiation Scrum«, ça me paraissait plus malin (Ou éventuellement à ‘booster vos prises de notes grâce aux mind maps’ de Suzon Beaussant, qui m’avait l’air d’une oratrice très enthousiasmante).
Sauf que c’était des sessions de 2h et 1h30, et que je voulais voir au bout d’une heure la conf « «agilité et psychologie humaniste », du coup, Backlog était ma seule option.
Est-ce que c’était intéressant, oui, est ce que c’était un peu raide au matin, avec des termes techniques, surtout pour quelqu’un de balbutiant en dev agile, ouais, carrément aussi. Surtout que l’orateur (L.Larché) parlait assez vite, et enchainait les informations. Ce fut dur, mais ce fut fait, et ce fut partiellement assimilé, ce qui est déjà pas si mal. (Même si j’espère revoir les slides, parce que plus j’y repense, plus ça me parait confus.)
Curieusement c’est la conférence que j’ai eu le plus de mal à suivre (abréviations, termes techniques…), alors qu’elle était notée débutant. (Les deux confs ‘avancées’, y a pas eu de soucis, comme quoi…)
2 Agilité et psychologie humaniste :
Ah, la conférence que je voulais voir dans la journée. La psycho est un de mes hobbys (au même titre que la gemmologie, l’armement médiéval ou les lasagnes). Grosse déception sur le fond, pour être franc, peut être biaisé par mon expérience en psycho et mes lectures à ce sujet, ou possiblement parce que je n’ai pas compris, mais j’ai trouvé ça un peu léger. En gros, voici un concept humaniste x ou y (empathie, respect…) et voici comment il se retrouve dans les méthodes agiles. Voyant les méthodes agiles avant tout comme des méthodes de managements intelligents (Le TDD ou l’extrême programming étant dans mon esprit des bonus sympas, mais pas le cœur de la démarche), j’ai eu un peu de mal à apprendre réellement des choses pendant la conf. Ceci dit superbe orateur (G.Yvan), très à l’aise, se sortant sans problème d’un souci technique. (On a vu seulement le quart de son powerpoint, problème d’affichage) A défaut d’une bonne leçon de psycho, j’ai eu un bon cour de présentation. Accessoirement l’organisation de ses questions réponses (petit séance au bout de 20 minutes, deuxième à la fin) était plutôt originale, et les questions posées renseignaient assez sur les personnes qui les posaient. (« Et si quelqu’un vous dit que c’est naif comme approche ?« (Sous titré, je pense que c’est naïf, qu’avez-vous à me répondre), «Ca l’est, et c’est une bonne chose.«)
Première pause, avec des viennoiseries pas mauvaises, assez étonnant, et du jus de fruit pas premier prix, encore plus étonnant. J’ai bien profité, ayant sauté le petit dej. Ce n’est pas très pertinent, mais beau taf des orgas sur le choix du traiteur à ce moment-là.
3 Au tableau !
Alexandre Boutin, je ne connaissais pas, bah maintenant je connais, et j’aime. Superbe communiquant, il fait un truc qui l’éclate (du jeu agile, principalement) et ça se voit. Bonne humeur communicative, maitrise de son sujet, mon dieu, le jour ou je suis aussi bon que lui, comment je me la jouerai.
Le sujet, par équipe de 8, créer sur un papier, un système permettant de repérer facilement les taches en cours dans notre liste. Bien pensé, le jeu ne demande pas de connaitre scrum ou autre méthode agile pour jouer. Une première session de 12 minutes permet (entre autre) de découvrir un peu les 7 autres participants à sa table. Fatalement, on est dans scrum, journée agile, certains sortent d’un atelier Kaban, et le titre c’est « au tableau«, donc on sort un tableau.
Quelques points intéressants ressortent au premier coup, des trucs qui ne palpitent sans doute que moi, (il y a 3 équipes, donc 3 ‘livrables’) genre «Ouais, mais le rouge pour écrire, c’est illisible à plus de deux mètres, agressif, et si t’es daltonien c’est mort.«, « Les numéros c’est bien pour représenter des gens dans le cadre du jeu, mais dans la vrai vie, tu peux te permettre de prendre dix secondes pour noter le nom complet ou les initiales quand même.«
Alexandre observe, demande (sans critiquer), questionne, parfois de manière narquoise, mais toujours dans un bon esprit, beaucoup de rires, et beaucoup d’enseignements. (Entre autre que 8 personnes qui ne se connaissent pas et disposent d’un tout petit temps, sont 8 personnes mal organisées et pas efficaces). Après cette première revue, bis répétita, cette fois sur 15 minutes, et avec un autre (j’ai envie de nommer ça cahier des charges… On va dire : ) état d’avancement des projets. Plus de règles, et donc plus de post-it, gommettes, annotations, tableaux…
Je reviens un instant sur les gommettes, qui à mon sens sont la exprès pour que les gens aient envie de s’en servir, pour obtenir des tableaux surchargés, et pour montrer qu’un tableau surchargé, c’est mal. Piège subtil, et au combien efficace. (Bon, okay, pas super subtil, mais avec la pression du temps dans un groupe disparate, la réflexion n’existe plus)
Donc deuxième version, plus aboutie que la première, ou plus illisible, selon ce que l’on préfère penser. En tout cas la partie du cahier des charges « Faut que ce soit joli«, vous pouvez oublier, visiblement les chefs de projets, dirigeants, product owner, ou développeurs (ou autres titres annexes, anglicismes inutiles, et termes désignant le chef) ne sont pas stylistes. On a eu le droit à un tableau à ligne rouge, à post-it rose et jaune fluos. Bienheureux les aveugles, parce que je pense que j’ai perdu 1/10ème à chaque œil en fixant ce truc.
En tout cas super instructif, super bien mené, avec des gens supers sympas, c’était super (J’avais un vieux stock de ‘super’ à écouler.
Pause midi, repas à base de sandwichs qui remportent un succès mitigés, tandis que les beignets et crêpes sont prisent d’assaut. Votre humble serviteur mange 6 beignets à la vitesse de la lumière, sous le regard interrogateur de Guillaume, genre «T’avais pas des beignets avant ?«, « Nan…«.
J’ai le plaisir de m’incruster dans le débat sur «payant/gratuit/fac/amphi/Sponsors« entre Alexandre Boutin et Guillaume, enfin j’écoute surtout. Et discute avec quelqu’un dont j’ai la carte dans mon autre manteau et dont j’ai oublié le prénom, ça me reviendra.
C’est plein de sucre que je me projette vers :
4 – Des jeux pour apprendre :
C’était mon planning, et je suis, surtout que c’est encore Alexandre Boutin, et que du coup, j’ai vraiment envie d’y être. Conférence sur l’intérêt des jeux, leur mise en place, et plus particulièrement les jeux agiles.
Rien de spécial à en dire, les jeux sont un vecteurs d’apprentissage, j’en étais convaincu, je le suis toujours (voir même encore plus), ça donne envie de devenir Alexandre quand on sera grand. Puis il a distribué du Toblerone (même si j’en ai pas gagné, mon voisin de devant a partagé le sien), ce qui fait une bonne raison d’être venu.
A noter que (certains) des jeux sont en libres accès sur
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (Hop, du boucle à oreille). Faut vraiment que je me penche la dessus.(Après le positionnement dans les canvas, les carousels, le TDD, et la domination du monde, c’est bien de savoir des trucs, mais parait que je suis codeur à l’origine)
Globalement, quand un type intelligent fait un truc malin sur un sujet fun, on peut dire que les chances de se planter sont faibles.
5 – En quoi Git serait plus agile que SVN :
La conférence de Guillaume. Sujet qui me parlait pas forcément beaucoup, mais les autres sujets à la même heure me parlait pas non plus, donc vu qu’on utilise Git au boulot, et que ça me permettait de voir Guillaume parler devant 50 personnes, en avant.
A ma grande honte, 14/15h c’est l’heure où j’ai du mal à être assis et concentré quand je manque de sommeil, ça n’a pas coupé et j’ai eu une petite demi-heure d’absence… Donc j’ai eu le début, la fin, et un bout du milieu. Je discuterai des slides avec Guillaume directement, pour la présentation en elle-même, c’était bien mené, belle maitrise du sujet, langage corporel un peu hésitant (Les jambes, nondediou, heureusement que les deux tiers de la salle pouvaient pas voir tes pieds), quelques ‘heu’, un bon 15 sur 20. Surtout, tel un télévangéliste US, Mr.Collic s’avérait ultra convaincu, et ultra-convaincant, si toute la salle ne va pas passer à Git dans la foulée, je pense que personne ne va s’attaquer à SVN pour le plaisir, et plusieurs décideurs manifestaient un intérêt important pour Git (Les questions étant souvent : J’ai une équipe de X personnes, tant de mois de projets, est-ce que je gagne à passer sur Git…). Impressionnant.
Par contre, sérieusement, est-ce que ‘Ne pas mener ses développeurs au suicide en utilisant des produits foireux’ n’est pas un argument recevable dans une entreprise pour switcher de technos ? (En étant assez malin pour faire un transfert en douceur et limiter le rejet d’un nouveau produit par les gens, ça sert à rien d’imposer Git comme une brute si c’est pour se faire renvoyer dans ses 22 direct) Faut-il vraiment pouvoir quantifier qu’on a gagné 7% de productivité le deuxième mois, et que ça va en s’améliorant. Si le mec peut partir 15 minutes plus tôt tous les jours en passant de SVN à Git, ça vaut le coup, indépendamment du cout économique minime que ça entraine. Fin je suis pas décideur, c’est pas le genre de problèmes auxquels je suis confronté, mais j’espère sincèrement que si un jour j’accède à ce genre de tâche, et que j’ai un board au dessus de moi, j’aurai en motivation ‘Ca va rendre les gens plus heureux’, plutôt que ‘On va économiser 74 euros par mois et par dev’.
Le jour ou j’irai proposer ce genre de changement. (Et surtout que mon board soit dans la même optique, mais faut bien manger, bref, je disgresse à mort)
Encore une pause, plus de beignets, mais des crêpes, bon, va pour les crêpes. (Oui, je peux me nourrir uniquement de sucre pendant 24h, ou plus). Le jus de fruit est désormais du premier prix, snif.(C’est acide !)
Je voulais faire ‘Illustration par l’exemple, Lego4scrum’ en théorie, mais le nombre de place des jeux est limité, et je devais partir vers 18h20, ça m’embêtait de bloquer quelqu’un qui pouvait rester jusqu’au bout (18h30, bon, rater 10 minutes sur 2h c’est ptet pas très grave, mais…). Comme a coté de ça, j’avais un enchainement ‘Ni gladiateur ni bisounours’/’Les infiltrés, coaching agile en milieu waterfall’ très prometteur, je me suis rabbatu sur les deux confs.
6 Ni gladiateur, ni bisounours :
Christophe Thibaut (puisque ce sera notre présentateur ici) est quelqu’un d’extrêmement curieux. Il parvient à imposer sa présence en douceur, et il émane de lui une gentillesse rare. Je ne sais pas ce qu’il en est dans la vie de tous les jours, (Même si au vu de sa philosophie, de sa conférence, de son attitude, et de ses billets de blog, ça ne doit pas être très loin) mais réussir à avoir l’air agréable en étant sur une estrade à 15 mètres des gens relève de l’exploit à mes yeux.
Son sujet est l’humain, et semble en harmonie avec la personne qui en parle. Il présente une méthode qu’il a lui-même suivi, (Disponible en Belgique, et normalement bientôt en France, par son intermédiaire) qui propose d’améliorer la communication et le travail en équipe. Partant du principe que l’amas de talent ne donne pas une bonne équipe, (Soyons franc, sur le papier, ça part quand même un peu mieux que l’amas de mauvais) mais que la cohésion et la communication de l’équipe sont des éléments essentiels.
Se basant sur des protocoles formels pour des situations données, sa méthode propose un fond simple, avoir confiance en l’autre, accepter ce qu’il fait, et discuter de manière positive. Ca m’a semblé super intéressant, possiblement ultra efficace, et l’instauration passive de la méthode (‘Je ne force pas les gens à m’imiter, les personnes ne sont pas obligées de se mettre à ma méthode quand je travaille avec elle, elles y viennent d’elles même parce que ça leur semble intéressant.’) est juste génial. Donner envie par l’exemple, quoi de mieux ?
Vais-je suivre ses enseignements… Ah, moralement il faut accepter une forme de lâcher prise, avoir une grande confiance dans son équipe… Ca demande un sacré courage sur le fond, je ne m’en sens pas encore capable, mais j’espère bien y parvenir dans quelques temps. (Hey, je suis jeune! enfin un peu.) En sus faut arrêter les sarcasmes et les vannes, et je risque de dépérir rapidement avec ce genre d’attitude…
C’est la seule conférence que j’ai vu déborder de son horaire tellement les gens semblaient vouloir en savoir plus, et malgré les classiques ‘Oui, mais si le monsieur il est méchant et qu’il se moque de moi, je fais quoi?’ (Les gens qui posent ces questions sont généralement ceux qui pensent à se moquer, ou alors je suis extrêmement négatif, m’enfin…)
Un tonnerre d’applaudissement (Même moi j’ai vaguement applaudi, pour dire) pour la sortie d’un monsieur que j’aimerais vraiment revoir à l’œuvre.
7-’Les infiltrés, coaching agile en milieu waterfall’ :
Ici, un retour d’expérience sur deux personnes ayant tentés de survivre agilement dans un milieu qui ne l’était pas. Ca débute avec 10 minutes de retard (Voir la standing ovation et les questions ci-dessus), et je vais partir dix minutes plus-tôt, dur, parce que c’était bien sympa à suivre.
Donc Mr.Keromen (Un des orgas me semble), raconte son histoire, embauché (avec un collègue) par une entreprise pour retenter un projet qui a super raté le coup précédent, il doit mettre en place des techniques agiles pour la réussite du projet. Ça a duré 2 mois, et ça a été un échec.
La présentation est une liste, amusante et triste, de tout ce qu’il ne faut pas faire pour réussir un projet selon un Agiliste, et les tentatives (désespérées ?) de nos deux agilistes pour introduire un peu de souplesse dans ce monde de durs. Très belle présentation, assez (Un peu trop ? Le panneau Waterfall intervenant à chaque slide pour signifier le danger était de trop à mon gout) visuelle. Un orateur clair, qui regarde avec du recul et un doigt d’ironie le projet collapser petit à petit. J’ai du partir avant la fin, mais de ce que j’ai vu, il y a des endroits où l’on a pas envie d’aller travailler…
Je file alors prestement, et déboule à la gare avec une bonne demi-heure d’avance… Ouais, bon, je pouvais ptet rester un peu…
Globalement, qu’en retirer.
C’était bien. Bien organisé, bien ravitaillé (Mouarf), bien intéressant. Curieusement la chose que je voulais le plus voir est celle qui m’a le moins marquée, est-ce que j’en attendais trop ? Possible.
Pour un dev, sachant que ça ne cause pas technique et que ça ne montre pas de code, est ce que ça vaut le coup ?
Sauf à avoir la vision globale d’une taupe ou de n’aimer que le code, oui, clairement. Fin je sais pas, on m’a toujours parlé de ‘Manager son manager’, ‘Plus tôt on commence à coder, plus tard le programme marche’, et autres apophtegme du même acabit, du coup j’y suis peut-être plus sensible que le type moyen, m’enfin…
Ça permet de voir comment les gens un cran au-dessus pensent, conçoivent, et se font presser par leurs directions. Non mais plus sérieusement, le savoir, c’est le pouvoir, à partir de la… Quand bien même tu n’as pas d’application directe des choses, que tu n’as personne à manager, tu apprends quand même deux trois trucs sur les méthodes agiles et les façons de coder. Après peut-être que les codeurs vétérans savent déjà tout ça et que dans quelques années je regarderai ce genre d’évènement avec dédain. (Mais j’espère pas, je suis déjà trop arrogant, espérons que ça n’empire pas)
C’était cool, j’ai aimé, j’ai appris un tas de trucs, et je pense que la journée est aussi rentable pour moi que pour mon entreprise. En plus j’ai eu une balle anti-stress, que demander de plus ?
Remarques annexes :
Comment souvent, je retiens plus la personne que son message, pour un debrief technique, c’est sans doute pas l’idéal.
Le livre « Purple cow«, est un(e) « purple cow «. Lire un livre avec une couverture de vache milka (violette et blanche), bah ça attire les gens, et ça permet de lancer une discussion facilement. (Genre, c’est mon boss qui m’oblige à lire ça, c’est même pas du dev, vous vous rendez compte, je suis un stagiaire exploité… Non c’est pas vrai hein…)
Oh god, je devais faire un debrief, j’ai encore raconté ma vie… Sorry. J’espère que c’est agréable à lire au moins.
Dans la vie, il faut choisir ou l’on met sa ponctuation par rapport aux parenthèses, ou faire ça de manière anarchique, je vais bosser ça pour la prochaine fois…
Pas de relecture pour le moment, je verrai pour les fautes plus tard.
Va ptet falloir me payer une formation debrief, j’ai pas l’impression d’être au point la…
Si on cumule ma license d’histoire et mon (possible) diplôme d’informatique, j’ai une sorte de Bac +5… (Voir +6 avec mon année de psycho). Ceci dit, dire ‘Je code depuis 6 mois… Non mais genre j’ai débuté y a 6 mois’ à des mecs avec 20 ans d’expérience, c’est quand même parfois un peu dur. (Malgré ce qu’en pense Fabrice, l’image social, j’y tiens moi
)
D’un autre coté ça fini par être marrant de trainer au milieu de type trois fois plus diplômés et compétent que soit ‘Ouais, je viens, je kiffe, bonjour.’
Vous devriez (probablement) retrouver ceci sur mon blog (Développeur rigide, comment cramer sa carrière avant même qu’elle ne débute. Titre pas encore définitif), quand j’aurai 10 minutes pour me prendre wordpress et un mysql sécurisé (aha). Peut-être en version aseptisée, ça dépend si j’ai le courage de dire que des mecs avec 15 ans dans le métier et que je recroiserai (espérons le) un jour sont des orateurs moyens ou ont une conférence plate.